Un employé licencié à cause de son addiction au porno !

19 juin 2017 à 12h47 par Ludovic Vilain

Vous le savez sans doute, quand vous êtes au bureau, vous êtes censé travailler et non regarder tout et n'importe quoi. Visiblement, cet habitant de Curitiba au Brésil n'était pas au courant.

LATINA

Le salarié d’une usine de recyclage de déchets ménagers de Curitiba au Brésil des vient d’être remercié par sa direction pour avoir a été remercié de ses fonctions pour avoir passé 39 de ses heures de travail, à regarder des films à caractère pornographique directement sur son ordinateur et sur son lieu de travail. On pense qu’il a confondu la durée légale du travail avec la durée de « matage » de films pornographiques.

Cet employé travaillant en fait pour une usine de déchets dépendant de la municipalité a tenu à conserver l’anonymat. On le comprend, mais si jamais vous le connaissez dites-lui de nous contacter on voudrait bien savoir comment il se prenait. Même si la presse locale a raconté en quelques mots comment il s’y prenait. Le salarié apportait ses propres films pornographiques sur son lieu de travail et les regardait carrément en plein écran. Sans même se soucier de son entourage paraît-il. Peut-être même que certains de ses collègues trouvaient ça sympa. En tout cas, ce qui a été qualifié « escroquerie morale » par son employeur a pris fin en mai dernier dernier lorsqu’il a été suspendu de ses fonctions. Son licenciement a depuis été signifié officiellement.

Au total, l’homme a été surpris après avoir passé 39 heures de travail sur deux semaines entières à regarder ses films X. Selon des témoins, un jour, il a même passé six heures et quarante-six minutes sur ses huit heures quotidiennes de travail à regarder ces films, rapporte encore le journal local. Mais comment fait-on pour compter aussi précisément nous direz vous ? Eh bien l’estimation de ce nombre d’heures a été réalisée après l’installation d’un logiciel de contrôle directement sur son ordinateur. Contrôle qui a été mis en place à la suite d’une plainte anonyme. Comme quoi il faut toujours de méfier de ses collègues !