Maluma ne veut plus entendre le tube « Despacito » de Luis Fonsi (Vidéo)

28 mars 2018 à 11h00 par Aurélie AMCN

Maluma adore Luis Fonsi. Mais il n'en peut vraiment plus d'entendre « Despacito » et il le fait savoir. Regardez !

LATINA
Crédit : Maluma

La chanson Despacito de Luis Fonsi et Daddy Yankee a largement marqué l’année 2017 en battant notamment de nombreux records sur les plateformes de streaming. On l’a beaucoup, BEAUCOUP entendu. Et on l’entend même parfois encore. À l’instar de nombreux internautes, Maluma n’en peut plus d’écouter cet air. C’est ce que le chanteur de 24 ans nous a fait savoir lors de son dernier entretien avec nos confrères américains du média Billboard. Ces derniers lui ont proposé de jouer à un jeu « Has 2 Go » qui consiste à faire un choix, plus ou moins difficile, entre trois propositions. 

Inévitablement, on lui a donc été demandé de choisir entre trois tubes issus de l’industrie musicale latine, à savoir El Farsante (Remix) de Ozuna featuring Romeo Santos, Mi Gente de son compatriote colombien J Balvin en duo avec le Français Willy William et enfin Despacito des Portoricains Luis Fonsi et Daddy Yankee. Sans la moindre hésitation, Maluma, Juan Luis Londono de son vrai nom, choisit d’éliminer le tube de l’année 2017. « J’adore Luis Fonsi, mais mon frère, j’en ai assez [de cette chanson]. Je t’aime vraiment, mais "Despacito" doit vraiment cesser… », lâche-t-il, mort de rire (voir vidéo ci-dessous). Une réponse que semble d’ailleurs valider ses collaborateurs présents derrière la caméra. 

L’interprète de Felices Los 4 a aussi pris d’autres décisions, comme choisir ses danses latines préférées, ses cocktails préférés, ses coquetteries préférées, ses habitudes sur les réseaux sociaux ou encore ses collaborations préférées entre Marc Anthony (la version salsa de Felices Los 4), Shakira (Chantaje) ou Ricky Martin (Vente Pa’Ca). « J’élimine Marc Anthony parce que je l’aime. Il représente bien plus que mon partenaire de musique, il est l’un de mes meilleurs amis. Alors Marc, désolé, mais, mon pote, tu dois partir », explique-t-il son choix.